Dans la vie, il n’y a pas de solutions, il y a des forces en marche : il faut les créer et les solutions suivent
Du 12 au 16 mai dernier, en Allemagne, plus de 3.500 personnes, dont une centaine de Belges, ont participé à « Ende Gelände ! - Pour lire l'intégralité du texte
De la force à la violence, il n'y a que l'épaisseur d'une haie
Mener une réflexion sur la violence est une affaire complexe. Tout d’abord parce que les manifestations et les expériences liées à la violence sont plurielles et parfois difficilement appréhendables, voire perceptibles. Mais aussi parce que, au CIEP, nous souhaitions l’aborder avec ce qui fait le cœur de notre réalité, notre originalité résidant essentiellement dans la philosophie de notre travail d’éducation populaire et dans notre expérience accumulée d’une pédagogie émancipatrice, notamment à travers nos formations dans le champ socioculturel. C’est pourquoi nous avons décidé de cibler notre réflexion autour de ce qu’on nomme en sciences sociales et sciences politiques, la violence politique et nous avons cherché à voir comment nous pouvions y apporter un éclairage spécifique.